Jusqu'au 24 septembre, la salle Sergi Mas accueille l'exposition sur la sorcellerie en Andorre Contre le mal donné, dans le cadre de la Première Conférence de la Sorcellerie en Andorre. Ces journées dédiées à la sorcellerie, constituent une occasion extraordinaire pour pouvoir connaître, à travers des reproductions, 8 procès contres des femmes accusées de sorcellerie. Les documents originaux et leur transcription sont conservés dans les Archives Nationales. On hi peut voir qui étaient ces femmes, où vivaient-elles et comment étaient leur relations avec leur environnement.
Les documents sont accompagnés de livres et de publications sur la sorcellerie, ainsi que des amulettes et des coutumes contre elles, cédés par Patrimoni Cultural. Aussi des photographies actuelles de Jordi Casamajor représentant des formes de protection sur les portes des maisons ou celles fournies par les Archives nationales, Comú D’Ordino et l'ethnologue Robert Lizarte, sur les comunidors. Des petits édifices religieux où se déroulaient des cérémonies ou des sorts ou des exorcismes contre les tempêtes, les inondations ou les fléaux.
Contre le mal donné, explore la fine frontière qui existe entre la croyance populaire et la superstition, entre ces malédictions et ce que nous utilisons contre elles.
Les documents sont accompagnés de livres et de publications sur la sorcellerie, ainsi que des amulettes et des coutumes contre elles, cédés par Patrimoni Cultural. Aussi des photographies actuelles de Jordi Casamajor représentant des formes de protection sur les portes des maisons ou celles fournies par les Archives nationales, Comú D’Ordino et l'ethnologue Robert Lizarte, sur les comunidors. Des petits édifices religieux où se déroulaient des cérémonies ou des sorts ou des exorcismes contre les tempêtes, les inondations ou les fléaux.
Contre le mal donné, explore la fine frontière qui existe entre la croyance populaire et la superstition, entre ces malédictions et ce que nous utilisons contre elles.